Dom Guéranger & Emmanuel Bailly, le fondateur de la Conférence de Saint-Vincent de Paul : correspondance (1832-1858) : restauration de l'ordre bénédictin en France et fondation de la Conférence de Saint-Vincent de Paul

 
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Dom Guéranger & Emmanuel Bailly, le fondateur de la Conférence de Saint-Vincent de Paul : correspondance (1832-1858) : restauration de l'ordre bénédictin en France et fondation de la Conférence de Saint-Vincent de Paul

La description

C'est à travers leur correspondance que nous sont présentés ici dom Guéranger et Emmanuel Bailly, deux hommes qui participèrent au « tourbillon catholique » dont parle le jeune Frédéric Ozanam, celui d'une presse catholique foisonnante, d'une science ecclésiastique et apologétique en plein renouvellement, d'une jeunesse universitaire qui redécouvre la foi dans les larmes du romantisme et la charité comme ciment de son amitié, de congrégations renaissantes après la suppression révolutionnaire des voeux monastiques. Ce catholicisme a encore des frontières poreuses et attire des saint-simoniens dont fut Félix Clavé [1811-1853], l'un des fondateurs les plus mystérieux de la Société de Saint-Vincent-de-Paul dont on apprendra beaucoup dans la notice qui lui est consacrée ici - y compris sur ses aventures amoureuses et ses entreprises économiques en Algérie ou au Mexique.

Bailly comme dom Guéranger à cette époque dépendent de la capitale où tout se passe, notamment pour lever les fonds nécessaires à leurs oeuvres. Là se trouvent hommes et dames d'oeuvres mais aussi des étudiants que Bailly, maître de pension place de l'Estrapade, pourrait amener à dom Guéranger. Tel est Gustave Colas de La Noue, né en 1812, étudiant en droit et membre de la conférence de charité qui allait devenir la Société de Saint-Vincent-de-Paul, auquel le P. Hala consacre une notice biographique. Poète, pur romantique, il dédie à dom Guéranger avec qui il eut de longues conversations son unique oeuvre, Enosh, avant que la maladie l'emporte, à seulement 26 ans.

L'amitié traverse leur correspondance de part en part, et elle nous régale par sa liberté de ton et d'humour. Comme souvent, c'est dans l'apparente insignifiance des correspondances que l'on peut saisir plus intimement les idées et les sentiments des hommes qui ont marqué leur temps. Grâce à cet ouvrage, on lira la petite cinquantaine de lettres conservées et ici éditées, avec plaisir et le plus grand profit.

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